Dans un monde où le business rime souvent avec profit et pouvoir, j'ai rencontré, dans le cadre de la rédaction de mon livre, une entrepreneure atypique, Alma Moya Losada. Animée par une conviction profonde et une passion ardente de générer un impact positif sur le monde, Alma incarne une ère d'entreprenariat où l'impact, la conviction et la liberté priment sur le gain financier.
Rêveuse, me diriez-vous ? Absolument ! Mais elle est bien plus que cela. C'est une femme d'action, audacieuse, qui rêve grand tout en suivant un plan précis. Passionnée et très connectée à la nature, son parcours de grande sportive, illustré par deux Iron Man à son actif, témoigne de sa discipline et de sa détermination. Face à un monde en déséquilibre, avec une nature en souffrance et une société en crise, Alma s'est posée cette question essentielle : comment puis-je apporter une solution durable et bénéfique à la source ? Ambitieux, n'est-ce pas ?
Pour tacler ce problème, Alma estime que ce changement doit commencer avec l'éducation des enfants. Cela semble juste, en effet… mais comment y parvenir ? Elle prône l'enseignement des valeurs de diversité, d'inclusion, de respect du climat, d'équité, de bienveillance, de joie, d’amour, (et bien plus) dès le plus jeune âge. La vraie question: comment transmettre ces valeurs à grande échelle et comment le faire de manière ludique? Alma a trouvé la réponse dans son expérience dans l’industrie du gaming. Elle a créé Aequaland, une société EdTech basée en Suisse en 2021, proposant un jeu vidéo éducatif qui encourage les enfants à devenir leurs propres super-héros, rendant l’apprentissage motivant, bienveillant et amusant, loin des jeux axés sur la guerre, la violence et la compétition. Avec deux prix et plusieurs levées de fonds, Aequaland vit sa troisième année avec succès.
Le parcours d'Alma avec Aequaland est un défi comparable à l'Iron Man, demandant détermination, courage et résilience, surtout dans un secteur éducatif rigide et traditionnel. Comment avance-t-elle ? Grâce à son équipe, tout aussi passionnée par le projet, et gérée de façon diamétralement opposée à la vie corporate traditionnelle, connue pour sa rigidité, son stress et son contrôle – tout sauf épanouissante. Cette équipe célèbre les erreurs avec des "fuck up parties", des danses pour fêter les « wins », et cultive un langage appréciatif et positif. Chaque membre dispose d'une autonomie complète, fixant ses propres KPIs et objectifs. Cette culture forte, qui attire les talents, remet en question les modèles traditionnels en cherchant à avoir un impact majeur dès la racine, avec un produit à la fois amusant, ludique et motivant.
Pour Alma, l'excellence est une question d'attitude : authentique, « you cannot fake it » !
Et vous, quel est votre impact positif ? Votre Iron Man personnel ?
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