En plongeant dans la rédaction de mon ouvrage sur les "Impact Leaders" et la croisssance par l'excellence, j'ai exploré profondément le rôle et la responsabilité des entreprises dans notre monde. Mon échange avec Jonathan Normand, CEO & fondateur de la Fondation B Lab Switzerland, m’a ouvert à une dimension supplémentaire : le capitalisme des parties prenantes.
Lors de l’interview, Jonathan a évoqué l'excellence comme une question de courage - le courage de suivre ce qui nous fait vibrer avec passion. C'est l'expression d'une agilité bienveillante, épurée de tout le "bullshit". C'est l'art de mobiliser et d'embarquer les gens dans une mission où chaque acteur - du collaborateur au client, du partenaire à chaque action environnementale - a un rôle crucial.
Le capitalisme des parties prenantes, c'est comprendre que chaque entité, des clients aux fournisseurs, des collaborateurs aux partenaires, et bien sûr, notre planète, contribue à cette excellence. Jonathan m'a rappelé que les entreprises peuvent transcender leur simple statut économique. Elles peuvent devenir une "Business as a Force for Good" - véritables catalyseurs de changement positif.
L'excellence est un voyage, pas une destination. Un voyage vers une forme de business qui ne se contente pas de prospérer, mais qui fait aussi une réelle différence.
N'est-ce pas le futur du business que nous méritons tous ?
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